Les mystères autour de Nazca

Les mystères autour de Nazca

Depuis plusieurs années, les scientifiques ne cessent de se pencher sur le désert de Nazca et autour de la civilisation disparue du peuple Nazca. De nombreux mystères non élucidés planent encore au-dessus de cette civilisation qui continue de fasciner, aussi bien, les archéologues que les passionnés d’histoire.

Les lignes qui parlaient au ciel

Les géoglyphes qui ont été dessinés dans le grand désert de Nazca ont créé un tel engouement, à un tel point que de nombreuses théories ont été présentées, par des spécialistes, afin de tenter d’élucider le mystère autour de ses origines, mais surtout de leur sens. Ses motifs ne sont visibles que du ciel. Maria Reiche, la mathématicienne et archéologue allemande qui a travaillé sur le site durant plus de 30 ans a défendu l’hypothèse d’un calendrier astronomique Nazca. D’autres spécialistes n’écartent pas non plus l’intervention d’une civilisation extraterrestre. Quoi qu’il en soit, le mystère reste entier autour de ces géoglyphes.

Les aqueducs de Cantalloc

La civilisation Nazca avait existé entre les années 500 et 200 avant J.C. Les archéologues ont pu découvrir de larges aqueducs avec un système d’ouverture en spirales appelés « puquios ». Jusqu’à il y a quelques années, leur fonctionnement était resté incompris. Une équipe de l’Institut de Méthodologies pour l’analyse environnementale en Italie, dirigée par Rosa LASAPONARA a pu découvrir qu’en réalité, ces aqueducs étaient des sortes de puits reliés entre eux par des canaux souterrains. Ce système permettait d’irriguer les endroits les plus secs.

La ville de Nazca

La ville de Nazca est un vestige historique qui a permis aux chercheurs de comprendre cette civilisation éteinte et retracer son histoire. Quelques vestiges des maisons et autres infrastructures ont encore été préservés par le temps, ce qui nous a permis de connaître que les Nazcas étaient de grands architectes. Certes la ville en elle-même ne regorge pas autant de mystères que les lieux mythiques précités auparavant, mais c’est toujours un endroit qui fait partie de l’histoire.